L’astuce, au départ, consiste à prendre des notes au fur et à mesure du tricot du premier exemplaire, puis à garder précieusement ces annotations. Ensuite quand on refait un ouvrage basé sur le même modèle, absolument plus besoin d’un quelconque mètre pour mesurer, ni même de tout le modèle. Un (tout) petit carnet suffit largement pour noter les informations essentielles : mailles, diminutions, nombre de rangs. La preuve :
C’est assez illisible, mais moi je comprends ce qui est le plus important. Du coup j’en profite pour noter les éléments-clés pour les chaussettes de la Saint Achim.
En attendant, les mi-bas sur mes aiguilles en sont là :